Nom de l’auteur/autrice :Steven.D

Comment mettre votre politique de cookies en conformité avec le RGPD ?

Qu’est-ce qu’un cookie ?

Un cookie est un fichier ayant vocation à retenir des informations sur un utilisateur : déposé sur son navigateur, celui-ci permet de retenir des comportements, données ou informations.

Ces données permettront ensuite d’exécuter un certain nombre d’actions pour personnaliser son expérience, par exemple :

  • Un cookie peut servir à retenir votre connexion sur un site e-commerce, vous évitant ainsi d’avoir à vous reconnecter à chaque visite sur le site
  • Il peut également retenir votre parcours sur le même site, et vous adresser une publicité ciblée en fonction des pages visitées

Le cookie est donc un outil protéiforme aux usages multiples, qui permet de servir à chaque utilisateur une expérience unique, car personnalisée.

Qu’est-ce qui change avec la loi ?

Les lignes directrices de la CNIL opèrent un changement fondamental de philosophie sur le traitement des cookies, cette nouvelle vision du cookie relève d’une application étroite du RGPD.

Le principal apport des nouvelles lignes directrices concerne le consentement aux cookies, c’est-à-dire la manière dont on va considérer l’accord de l’utilisateur pour se voir déposer les fameux fichiers.

Que prévoyait la réglementation jusqu’à présent ?

Avant janvier 2020, le consentement de l’utilisateur était présumé « à la poursuite de la navigation », ce qui signifie que l’éditeur d’un site pouvait déposer des cookies dès lors que l’internaute cliquait ou scrollait sur son site.

Cette réglementation s’assortissait d’une obligation d’information à minima, l’utilisateur devant simplement être informé de la potentielle dépose de cookies : c’est le bandeau que nous connaissions.

Quels sont les apports des lignes directrices de la CNIL ?

Les lignes directrices de la CNIL alignent le traitement des cookies avec celui des données personnelles réglementé par le RGPD : en matière de cookies, qui ne dit ne mot ne consent plus !

Comment vous mettre en conformité ?

Étape 1 : L’information extensive sur les cookies

Dans le cadre de votre mise en conformité, votre première étape consistera en un diagnostic de l’existant. Il vous incombe de recenser :

  • Les cookies implémentés sur votre site
  • Leur finalité: suivi des visites, ciblage publicitaire, etc.
  • Leur durée de vie(sachant que celle-ci ne peut légalement excéder 13 mois)

Une fois recensés, les cookies pourront être classifiés, avec trois grandes catégories de cookies :

  1. Les cookies fonctionnels : nécessaires au bon fonctionnement du site, il s’agira par exemple d’un cookie has_js, qui permettra de déterminer si votre navigateur accepte javascript ou non
  2. Les cookies analytiques : qui visent à mesurer les performances d’un site web, le plus connu étant Google Analytics
  3. Les cookies marketing ou publicitaires : qui ont vocation à proposer à l’utilisateur du contenu ciblé en fonction de ses expériences précédentes de navigation

Cette information sur les cookies doit être ensuite mise à disposition de vos internautes, généralement sous forme d’un tableau dans une rubrique dédiée de votre page mentions légales / politique de confidentialité.

tableau-cookies-cnil
Le tableau récapitulatif des cookies déposés sur le site de la CNIL.

Nous recommandons l’utilisation de l’outil de diagnostic Cookiebot qui, s’il doit être re-croisé avec une analyse manuelle, vous fera gagner un temps précieux sur cette étape.

Étape 2 : Un dispositif de recueil du consentement

C’est l’étape la plus délicate de votre mise en conformité, car il s’agira d’implémenter la solution technique qui permettra à vos utilisateurs d’opposer leur refus au dépôt des cookies.

Ce dispositif sera la plupart du temps matérialisé par un pop-up, car celui-ci est la meilleure manière de permettre à l’utilisateur d’exercer son choix le plus en amont possible, et si possible, de l’orienter vers un choix positif en faveur des cookies !

Cependant, il est tout à fait possible de préférer un bandeau discret en haut de votre page. Attention cependant, vous ne pourrez pas déposer de cookies tant que l’internaute n’aura pas explicitement donné son accord.

Étape 3 : Un consentement dissocié par finalité de cookie

Le dispositif de recueil de consentement des cookies doit permettre une dissociation des consentements en fonction des finalités de cookies vues précédemment, sachant que chaque finalité de cookie aura sa propre logique vis-à-vis du consentement :

  • Les cookies fonctionnels sont dispensés de consentement en ce que leur dépose est strictement nécessaire au fonctionnement du site internet
  • Les cookies analytiques sont soumis au consentement de l’utilisateur, mais avec des exceptions ! Nous développerons un peu plus tard comment dispenser votre dépose Google Analytics de consentement
  • Les cookies marketing / publicitaires: visant à adresser à l’internaute un contenu ciblé, ils doivent systématiquement faire l’objet d’un consentement avant tout dépôt de cookie

Quel outil choisir pour votre mise en conformité ?

De nombreux outils permettent d’adresser la problématique du consentement sur les cookies, parmi ceux-ci :

  • Tarte au citron JS
  • Cookie Pro
  • Uniconsent …

Prudence cependant, car si ces outils permettent dans leur version gratuite de générer un pop-up conforme aux exigences de la CNIL, la désactivation des cookies nécessite un effort de paramétrage complémentaire. En effet, si permettre à l’utilisateur de cocher une case concernant un type de cookie est une chose, empêcher la dépose effective du cookie en est une autre !

Les outils précités proposent généralement deux mécaniques :

  • Une action sur les cookies à effectuer directement dans le code
  • Un paramétrage depuis le back-office de l’outil, dont les modalités dépendront de la solution retenue

Keep calm and eat cookies !

Les lignes directrices de la CNIL opèrent une interprétation stricte du RGPD en matière de cookies.

Comme toute nouveauté, celle-ci amène son lot de questions, mais la nature ayant horreur du vide, de nombreuses offres de services sont déjà à votre service pour vous aider dans ce processus.

Et si vous n’arrivez pas à choisir une solution pas de panique, nous sommes là pour vous aider à cet arbitrage : contact@adveris.fr.

responsive

Le mobile first : le graal pour tout projet de création de site web ?

Dans un monde dans lequel le mobile représente plus de la moitié du trafic sur internet (53% au niveau mondial en 2019, source StatCounter), le moment est-il venu de construire tous les sites en mobile first ?

Qu’est-ce que le mobile first ?

Le mobile first est une approche plaçant le mobile au centre de la conception des sites internet. Il consiste à construire d’abord la version mobile d’un site avant de l’adapter aux écrans plus larges, tablettes puis desktops (ordinateurs fixes ou portables).

Cette approche se place en alternative à la démarche de responsive webdesign, dans laquelle l’interface est conçue d’abord sur desktop avant d’être déclinée sur tablette et mobile.

mobile first vs responsive

Les implications et les limites de l’approche mobile first

La conception centrée sur les usages mobiles a plusieurs conséquences négatives sur l’expérience utilisateur… sur desktop, qui représente tout de même toujours 45% du trafic internet au niveau mondial (et même 55% en France), avec une stabilisation très nette depuis début 2017 (45,5% du trafic web sur desktop au T2 2020, vs. 44,9% au T1 2017 d’après StatCounter).

desktop-mobile

Les conséquences négatives les plus dommageables sont notamment :
• Une structure de site très simple ne tirant pas parti de la surface d’affichage : alors que sur mobile, la taille d’écran contraint à structurer une page web comme une succession d’éléments les uns sous les autres – ce qui présente certes l’avantage d’obliger à une hiérarchisation forte des contenus – en déduire une interface desktop peut générer une expérience utilisateur déceptive renvoyant aux premières années d’internet où les sites ressemblaient à un roman linéaire porté sur un écran
• Un site pauvre en innovations : parce que les réseaux mobiles sont souvent moins puissants que les connexions filaires (ADSL et fibre), les sites conçus en mobile first favorisent des pages web allégées afin de faciliter l’accès aux internautes disposant de connexions dégradées. Cela réduit la marge de manœuvre des créatifs afin de concevoir des interfaces originales afin de séduire l’internaute

Pourquoi le mobile first n’est pas pertinent pour tous les sites

Le terme se répand rapidement depuis quelques années, devenant un élément clé des appels d’offres des annonceurs, qui exigent un site « mobile first » pour s’adapter aux tendances actuelles, sans forcément challenger la pertinence de ces tendances par rapport à leur situation spécifique… Pourtant plusieurs éléments devraient inciter certaines entreprises à s’interroger davantage sur la meilleure manière de concevoir leur site internet.

Quelle est la part du trafic mobile sur mon site

La première limite concerne l’usage des sites : si le trafic sur mobile a fortement augmenté au cours des 10 dernières années, cette tendance est largement due au développement des plateformes sociales et de la consommation de vidéos, conduisant toutes les deux à des comportements d’addiction nous accompagnant tout au long de la journée, depuis notre réveil dans le lit jusqu’aux dernières heures de notre journée.

Cependant, de nombreux sites n’ont qu’une part très minoritaire de leur trafic issu des terminaux mobiles, il convient donc de vérifier cette information (et d’analyser les tendances de fond pour anticiper les usages futurs) avant de définir la meilleure approche pour refondre son site internet.

Par exemple, la rubrique d’information financière d’une entreprise cotée a vocation à être beaucoup plus largement consultée sur desktop que sur mobile, de même que le site d’une entreprise B2B dont les prospects/clients consultent le site depuis leur lieu de travail.

Quel usage de mon site sur mobile

Au-delà de la simple répartition des visites, il est également intéressant d’étudier le comportement des mobinautes : si le mobile représente 53% du trafic sur internet, il ne représente que 40% du temps passé sur les sites web (cela s’explique notamment par le fait qu’une large partie de la consommation de data sur mobile est liée à l’utilisation d’applications). Autrement dit, la durée des visites sur un site est généralement beaucoup plus courte sur mobile que sur desktop et les mobinautes consultent donc moins de pages que les internautes sur desktop.

Le taux de conversion est également sensiblement plus faible sur mobile que sur desktop. Aux Etats-Unis, on observait ainsi en 2019 un taux de conversion de 1,5% sur mobile vs. 4,1% sur desktop pour les sites de e-commerce. Si la question de la cause et la conséquence se pose, il n’en demeure pas moins qu’adopter une approche mobile first peut potentiellement mettre à risque le modèle économique d’un acteur dont le chiffre d’affaires est directement lié à la performance du site sur desktop…

taux de conversion

Comment réconcilier desktop et mobile

Loin de nous la volonté de nier la pertinence du mobile first dans l’absolu. Au contraire, cette approche correspond à une tendance de fond du web et a tout son sens dans un certain nombre de cas, même si elle ne l’a pas absolument dans tous les cas comme nous venons de le voir précédemment. Dans certains secteurs, l’usage mobile représente une écrasante majorité du trafic, et même du chiffre d’affaires, faisant de la conception mobile first une évidence.

Surtout, au-delà de la situation actuelle, la tendance des usages est indéniable : après la 4G, l’avènement de la 5G va continuer à permettre des usages plus poussés du web en mobilité, il est donc impératif d’anticiper les nouveaux usages pour réussir sa stratégie digitale.

Mais au-delà du support/device, la meilleure approche nous semble être la conception centrée sur les besoins de l’utilisateur et les objectifs de l’entreprise : la mise en place d’une démarche UX partant des utilisateurs (personae) et intégrant pleinement les objectifs business (besoin de développer un discours de marque, mise en avant de produits générant une marge supérieure, etc.) permet de mettre en place un site à la structure optimisée, dont le contenu et l’ergonomie peuvent diverger in fine selon les terminaux de consultation.

marketing

Performer sur Facebook et Instagram : comment optimiser votre tunnel de conversion sur Facebook Ads ?

En tant qu’annonceur sur Facebook Ads, votre objectif numéro 1 sera d’adapter vos publicités sur Facebook et Instagram au profil et au parcours d’achat de votre cible, pour adresser le bon message au bon moment et à la bonne personne.

L’objectif n’est pas de « pousser » des messages en fonction des seuls centres d’intérêts de vos utilisateurs, ou de leur profil sociodémographique, mais d’adapter votre prise de parole à leur position dans leur parcours d’acheteur, c’est-à-dire de leur niveau d’intimité avec votre marque.

1) Sensibiliser : optimiser votre notoriété auprès d’une nouvelle cible

La première étape dans un parcours d’achat classique consiste à « sensibiliser », soit transmettre un message à une cible qui n’a pas encore connaissance de son besoin et de l’existence de votre marque. En tant qu’annonceur, votre challenge va donc être celui de la notoriété. Facebook Ads propose deux objectifs dédiés à cette étape.

Le premier objectif « Notoriété de la marque » qui comme son nom l’indique, va diffuser vos publicités à des personnes susceptibles de retenir votre nom de marque. L’indicateur permettant de mesurer le retour sur investissement est la mémorisation publicitaire. Attention cependant, il s’agit d’un indicateur abstrait, à ne pas interpréter comme une science exacte.

Le second objectif, bien plus concret est la couverture. Son utilité ? Cibler le plus de personnes possible en fonction du budget alloué. Le retour sur investissement est bien plus facile à mesurer grâce à la portée, qui permet de savoir combien d’utilisateurs uniques ont visualisé votre annonce. A ne surtout pas confondre avec les impressions, qui représentent le nombre de fois où une publicité a été visualisée par votre audience.

L’étape « sensibiliser » dans votre parcours d’achat doit être délimitée par ces objectifs, mais aussi par des visuels et des textes adaptés. La question numéro 1 : comment souhaitez-vous vous exprimer auprès d’une nouvelle cible ? Il faut donc adapter votre discours :

  • Mettre en avant votre univers de marque avec des mots définissant votre personnalité. Cette technique encourage la mémorisation publicitaire et donc une progression dans le parcours d’achat.
  • Ne pas parler du produit directement mais plutôt du problème que peut rencontrer votre audience et de la solution principale apportée par votre produit. Au début du parcours, votre audience n’est en effet pas intéressée par l’aspect promotionnel de votre marque.
  • Ne pas favoriser uniquement les formats courts. Les formats longs peuvent aussi être utilisés pour ce type d’objectifs avec des langages fun et décontractés quand le secteur le permet.

L’astuce pour utiliser ces objectifs :
Le format vidéo est recommandé dès que votre objectif est de sensibiliser. C’est un format particulièrement apprécié par les algorithmes de Facebook et Instagram, mais aussi idéal pour les objectifs de notoriété.

2) Considération : générer un trafic qualifié sur le site avec des formats adaptés

Une fois votre marque établie dans l’esprit de vos utilisateurs, votre second objectif va être de déclencher une première action sur vos publicités, mais aussi sur votre site web. C’est ce que l’on appelle l’étape de considération dans le parcours achat.

Cette étape correspond à plusieurs objectifs Facebook Ads, mais l’objectif qui nous intéressera particulièrement ici sera « Générer du trafic ». En choisissant cet objectif, vous demandez à Facebook d’aller cibler des personnes susceptibles de cliquer sur votre annonce. Attention cependant, si Facebook s’occupe du ciblage, vous devrez créer les messages adaptés à cet objectif :

  • Adapter votre discours pour générer du trafic qualifié. Dans la même logique que pour l’objectif de notoriété, l’enjeu premier va être d’adapter vos messages à l’action que vous souhaitez déclencher. En effet, votre audience se situera à une étape plus avancée dans son parcours d’achat, et il faudra donc adapter votre discours pour la convaincre de son besoin.
  • Mettre en avant les bénéfices de votre produit ou de votre solution avec des verbes d’action. Cela permettra de faire passer votre internaute d’un état passif à actif, en cliquant sur vos annonces.

L’astuce pour utiliser cet objectif :
Le format carrousel est un incontournable. Il est réputé pour générer deux fois plus de clics que des visuels uniques et vous permet également de diriger vos utilisateurs sur plusieurs pages de votre site.

3) Conversion : Générer des actions concrètes sur son site

Nous y sommes ! Votre nom de marque est ancré dans l’esprit des utilisateurs, le trafic qualifié est généré sur votre site web, il ne reste plus qu’une seule étape : les conversions. L’objectif désormais est d’amener votre audience à convertir sur votre site de différentes façons : télécharger un guide, envoyer une demande de devis, acheter un produit en ligne, les objectifs de conversion sont illimités sur Facebook Ads. Attention cependant, plusieurs étapes doivent être prises en compte pour obtenir des actions concrètes sur votre site :

  • Paramétrer correctement le tracking de vos campagnes. Grâce au pixel Facebook, vous pouvez en effet suivre l’ensemble des évènements de votre site et ainsi avoir une mesure précise du retour sur investissement. Le script du pixel doit absolument être installé dans le code source de votre site avant toute campagne.
  • Renouveler vos messages en fonction de votre objectif de conversion. Pour ce type d’objectif, il est important d’utiliser des phrases concises et percutantes avec des verbes d’action.
  • Dynamiser vos ciblages avec des audiences plus larges. A cette étape du parcours achat, vos audiences doivent être ciblées à un niveau plus avancé que pour les précédentes étapes du tunnel de conversion. En effet, ici l’objectif premier est de générer des achats ou des leads. Vous devez donc tirer profit de vos données existantes pour cibler des profils similaires de personnes qui se situent au même niveau dans le parcours achat : un profil similaire de de vos ajouts au panier ou un profil similaire de vos leads existants par exemple ! Si vous ne disposez pas de données sur votre site pour le moment, alors ciblez un profil similaire de votre base d’abonnés emailing. Les possibilités de ciblage et d’action de conversion sont illimitées donc autant en profiter.

L’astuce pour utiliser cet objectif :
Pour les objectifs de conversion, le format à absolument mettre en avant est le format dynamique : carrousel ou collection dynamique, ces types de formats permettent de recibler l’utilisateur avec le visuel du produit consulté sur votre site.

Sur Instagram comme sur Facebook, il est donc primordial d’adopter une démarche publicitaire construite en fonction de vos objectifs, du parcours d’achat de vos interlocuteurs, et d’adresser les bons messages, au bon moment, en utilisant le bon format. Et n’oubliez pas que générer du trafic sur votre site ne vous empêche pas d’optimiser votre notoriété ou de générer des achats, un objectif n’exclut pas les autres !

Sur Facebook Ads comme dans la vie, bien souvent les seules limites seront celles de votre imagination, et de votre budget bien sûr !

Ux Design

UX Design : concevoir des expériences écoresponsables et durables

Le design d’expérience utilisateur est reconnu comme le métier de choix pour concevoir des sites internet utiles et performants, on y pense en revanche moins pour sa capacité à créer des sites plus respectueux de l’environnement.

Internet représente une part croissante des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Si on pointe souvent du doigt les infrastructures, on ignore souvent que la moitié de ces émissions provient en réalité des utilisateurs(1). Le problème qui se pose est que les éditeurs de sites ne leur donnent que rarement les moyens d’adopter un usage plus raisonné et écologique du web.

Une phase approfondie de conception centrée utilisateurs, portée par les UX designers, avec des choix forts mais simples d’éco-conception, permettrait pourtant de faire naître des sites plus durables et toujours remarquables.

Des choix de départ qui auront un impact sur tout le cycle de vie de votre site internet.

Les 4 piliers d’une expérience durable pour les utilisateurs, les éditeurs et l’environnement : s’assurer de concevoir un site internet utile, désirable, accessible ET éco-responsable.

Les décisions qu’il est possible de prendre très tôt dans une démarche éco-responsable sont nombreuses :

Conception centrée utilisateur

Débutez votre projet de création ou de refonte en identifiant les besoins clés de vos cibles. Encadrée par un UX designer, une phase de recherche et de définition permet de dresser la feuille de route qui vous aidera dans vos prises de décision tout au long du projet. Une définition claire des attentes de vos utilisateurs et de vos métiers permet de concentrer les efforts là où cela compte. Vous pouvez alors éviter de tomber dans des erreurs simples, qui se font au détriment de la conversion et de l’environnement, par exemple : faut-il vraiment un slideshow à cet emplacement ? Une vidéo participe-t-elle à la compréhension de cette page ? Un module interactif fait-il ici mieux le travail qu’un texte simple ? Etc.

L’éco-conception vous permet d’aller encore plus loin dans votre démarche centrée utilisateurs, avec des parcours ultra efficaces et une arborescence réduite qui s’accompagnent bien souvent d’une plus haute satisfaction de vos utilisateurs, sans se faire au détriment de la richesse de l’expérience que vous souhaitez leur proposer.

Anticiper le cycle de vie du site

La phase de définition UX est aussi le moment propice pour décider des jalons qui rythmeront la vie de votre site : quels seront les besoins d’évolution de contenus et de fonctionnalités, quand seront-elles déployées ? Quelles sont les ambitions de trafic pour lesquelles nous devons designer et développer ce site ? Toutes ces questions permettent une meilleure allocation des ressources pour créer un site plus efficace, évolutif et économe.

Intégrer l’éco-responsabilité dans une démarche plus large de conception durable.

Le web a une responsabilité qui va au-delà de son impact environnemental. La conception éco-responsable a des effets positifs sur les autres piliers du développement durable.
Pour concevoir un site internet dont la qualité, la pertinence et la durabilité le rendent remarquable, il est intéressant de considérer les points suivants.

Des impacts humains

  • La simplification des contenus et des fonctionnalités rendent votre site simple d’utilisation et clair pour le plus grand nombre, répondant ainsi aux enjeux croissants d’accessibilité et d’inclusivité des dispositifs que nous devons créer.
  • Les utilisateurs sont rendus acteurs, informés de l’impact de leurs usages et inclus dans la démarche éco-responsable de l’éditeur, qui met à leur disposition les moyens de faire évoluer leur comportement en ligne.
  • Ces mêmes utilisateurs, pleinement inclus, adhèrent davantage à votre démarche et par voie de conséquence à votre offre.

Des impacts économiques

  • Une expérience utilisateur clarifiée et efficace, qui génère plus de conversion.
  • Des contenus et fonctionnalités rationalisés, avec un effet positif sur les ressources à mobiliser pour les produire et les développer.
  • Une architecture de l’information resserrée qui réduit les coûts de fonctionnement et facilite la maintenance.
  • Un cycle de vie du site défini en amont, qui permet d’anticiper les évolutions avec des choix qui simplifieront sa croissance et prolongeront sa durée de vie.

Notre démarche durable chez Netclic

Avec cet objectif de créer des expériences remarquables et durables pour nos clients et leurs utilisateurs, nous incluons systématiquement dans notre méthodologie un degré d’éco-responsabilité adapté aux ambitions et à la réalité de chaque projet.

La phase de conception encadrée par nos UX designers permet d’aligner besoins utilisateurs et objectifs business, de définir l’arborescence et les contenus et fonctionnalités qui la peupleront, tout en réfléchissant à l’évolution du site à moyen et long termes.

Cette expérience créée de façon collaborative passe ensuite entre les mains de nos designers et développeurs, qui mettent tout leur savoir-faire en termes d’accessibilité et de performance pour finaliser le projet dans les règles de l’art et en appliquant à tout moment les principes de l’éco-responsabilité (minimisation des requêtes, compression des ressources…).

Adveris est par ailleurs certifiée par l’Afnor et a obtenu la médaille Silver de EcoVadis pour l’ensemble de ses actions menées dans le sens de plus de responsabilité et de durabilité.

Envie d’en savoir plus ou de créer votre prochain site dans une démarche éco-responsable et durable ? Parlons-en ensemble !

ux design

UX Design : les wireframes, un enjeu clé pour la réussite d’un projet web

Comme toute discipline, l’UX design évolue au fil du temps et des outils, et se pose régulièrement la question de l’utilité de ses livrables.

S’il peut être tentant de faire l’impasse sur certains outils ou étapes pour livrer plus rapidement une expérience finalisée, le wireframe est un outil indispensable pour l’UX Designer, à condition de savoir l’utiliser à bon escient, c’est-à-dire pour au moins 4 bonnes raisons !

Raison n°1 : explorer rapidement une idée

Les wireframes et leurs différents niveaux de fidélité sont un moyen simple d’explorer et de valider (ou non) une idée à moindre coût avant de l’emmener plus loin dans la phase de création.
La basse définition est à privilégier à un stade précoce du projet ; simple croquis ou prototype rudimentaire, elle permet de s’assurer rapidement de la validité d’une idée et d’en explorer les différentes alternatives.
Les wireframes haute définition permettront quant à eux d’acter une hiérarchie de l’information et le fonctionnement attendu d’un écran. Ils sont un support précieux pour communiquer avec toutes les parties prenantes au projet, et s’aligner sur une vision commune.

Raison n°2 : définir le cœur de l’expérience utilisateur

Par leur minimalisme intrinsèque, les wireframes nous poussent à aller à l’essentiel de l’expérience, et posent une question fondamentale : quels sont les services indispensables qu’un site doit rendre pour répondre aux besoins de ses utilisateurs ?
Le rythme très vertical et schématique des maquettes fonctionnelles nous amène aussi à nous poser la question du contenu indispensable à la parfaite compréhension de chaque page et au maintien consenti de l’utilisateur dans son parcours. Les wireframes nous permettent de créer des pages très pertinentes pour leurs lecteurs, et d’aider les équipes à se concentrer sur la production de contenus et services à forte valeur ajoutée.

Raison n°3 : lier l’architecture de l’information au design visuel d’un site

Si l’architecture de l’information est une composante essentielle du travail de l’UX Designer, il est parfois difficile de la matérialiser pour la rendre compréhensible par tous.
Or, les maquettes fonctionnelles donnent vie à cette structure en définissant les principes de navigation dans ses contenus et fonctionnalités. Elles nous permettent également de déployer les parcours conçus en amont et de s’assurer que chaque utilisateur se trouve exposé au bon niveau d’information au bon moment. On s’assure aussi grâce aux wireframes de la hiérarchie des contenus, on vérifie que les éléments comme ceci assemblés font sens autant pour une audience experte que pour un primo-visiteur, et qu’ils seront aisés à produire et intégrer par le rédacteur.

Raison n°4 : concevoir une expérience durable

Les wireframes nous aident à anticiper dès sa conception les évolutions qu’un projet connaîtra tout au long de son cycle de vie.
Pour anticiper une densification des contenus, l’ajout de fonctionnalités, l’augmentation du nombre d’utilisateurs… les maquettes fonctionnelles nous permettent de projeter rapidement et à moindre coût la façon dont le site accueillera ces évolutions. On peut ainsi mieux prévoir les impacts sur l’expérience et la technologie, pour que l’évolution s’opère de façon cohérente et transparente pour les utilisateurs, sans toucher aux principes fondamentaux définis initialement.
La durabilité d’une expérience repose aussi sur la simplicité de contribution et de maintenance pour les équipes. Les wireframes nous aident à définir un modèle de contenus clair qui facilitera le travail d’alimentation et d’animation du site au quotidien, garantissant ainsi que le site vivra mieux et plus longtemps.

Quand se passer de wireframes ?

Par définition statiques et simplistes, les wireframes ne sont pas les meilleurs livrables pour se projeter sur ce que sera l’expérience finale. S’ils s’avèrent utiles lors de la phase de recherche, on évitera donc de les inclure en test utilisateurs.
On peut également leur substituer des maquettes graphiques quand un Design System existe, il est alors plus simple et rapide de prototyper avec l’UI définitive.
Enfin le wireframe ne peut se suffire à lui-même quand il s’agit de construire une architecture de l’information particulièrement complexe, on l’associera donc toujours à un travail préalable de cartographie et de hiérarchisation (avec le Core Model par exemple).

Les wireframes sont donc encore souvent une étape essentielle du travail de conception. Ils permettent d’avoir rapidement une vision approfondie de l’expérience cible et de communiquer avec l’ensemble des parties prenantes. Bien qu’ils représentent un investissement de départ, ils font économiser du temps à l’arrivée du projet en facilitant la passation aux UI Designers, en anticipant les contraintes de développement et en préparant le travail de création de contenus pour délivrer un site original et pérenne.

Vous aussi croyez à l’absolue nécessité de concevoir des wireframes en début de projet ? Contactez-nous pour démarrer dès à présent la création ou la refonte de votre site !

SEO

Rédaction optimisée pour le SEO : satisfaire à la fois Google et les internautes

Le contenu, c’est LE nerf de la guerre en SEO ! Les référenceurs utilisent en effet la rédaction comme principal levier pour mieux référencer un site sur les meilleures requêtes effectuées chaque jour sur Google.

Mais quels sont les critères de rédaction SEO à respecter ? Si la bonne pratique reste depuis longtemps de rédiger des textes longs et de répéter le mot-clé cible, cela ne suffit plus aujourd’hui. Les moteurs de recherche recherchent de plus en plus de qualité dans votre contenu, afin de refléter au mieux les besoins des internautes. Quels sont donc les moyens pour répondre à ces nouvelles exigences ?

Rédaction SEO : se référencer sur des requêtes cibles à fort potentiel

Avant de démarrer la rédaction de vos textes, il est important d’identifier la requête que les internautes pourraient effectuer sur Google à laquelle votre page a vocation à correspondre. Par exemple, si vous vous apprêtez à rédiger un article sur votre recette de mousse au chocolat préférée, vous déciderez probablement que votre cœur de cible SEO seront les internautes effectuant la recherche « recette mousse au chocolat ».

En pratique, nous choisissons les requêtes sur lesquelles nous rédigeons des contenus SEO en fonction de :

  • la volumétrie des requêtes : la requête est-elle suffisamment recherchée par les internautes pour générer plus de trafic sur votre site web ?
  • l’indice concurrentiel : y a-t-il de nombreux sites et/ou des pages très optimisées en terme de référencement naturel sur cette requête ?
  • la pertinence pour votre activité : la requête est-elle bien liée à votre business, êtes-vous légitime pour parler du sujet ?

Des outils comme SEMrush, Uber Suggest ou encore votre gestionnaire de publicité Google Ads peuvent vous communiquer des informations sur les deux premiers critères. Quant au troisième, c’est à vous de l’apprécier !

Une fois votre requête cible définie, il faudra concentrer la rédaction de votre contenu autour du mot-clé qui lui correspond. En SEO, une bonne pratique consiste à focaliser la rédaction d’une page sur un seul mot-clé principal (pour synthétiser, on applique la formule « un mot-clé = une page »), modulo le fait que ce mot-clé peut faire partie d’un champ sémantique plus large qui devra aussi être intégré au travail de rédaction. Cela permet de focaliser votre contenu autour de la requête cible, et donc d’être plus pertinent et d’améliorer votre référencement sur ledit mot-clé.

Rédaction SEO : appliquer les bonnes pratiques pour améliorer votre référencement sur vos requêtes cibles

La rédaction SEO permet aux robots d’indexation d’évaluer la pertinence d’une page et identifier les requêtes sur lesquelles l’indexer. Les principaux critères de qualité d’un contenu sont les suivants :

  • Longueur

Pour être considéré comme qualitatif par Google, le texte doit d’abord être long. Aux yeux des moteurs de recherche, plus vous écrivez, plus vous abordez en profondeur votre sujet, donc plus importante est la plus-value de votre contenu.

Ainsi, on peut raisonnablement s’accorder qu’en dessous de 500 mots sur une page, il deviendra difficile pour le robot de considérer votre contenu comme complet et donc de mieux vous référencer.

  • Occurrences

Le texte de votre page doit ensuite faire remonter le mot-clé ciblé avec une densité importante : on s’accorde généralement sur 1 mot-clé (ou synonyme ou paraphrase) pour 25 à 100 mots rédigés.

De plus, celui-ci doit apparaître au sein du titre principal (H1). Idéalement, il doit apparaître deux fois dans votre chapô (introduction), ainsi que dans chaque titre secondaire (H2).

Enfin, nous recommandons d’intégrer à votre rédaction des mots et des expressions cousins, appartenant au champ lexical et à l’environnement de votre sujet.

  • Liens

Nous recommandons d’ajouter un à deux liens internes vers une ou deux autres pages SEO de votre site web sur lesquelles vous auriez besoin de jus de référencement – c’est-à-dire sur lesquelles vous souhaitez que les robots d’indexation viennent en priorité. Ce lien sera placé de préférence au sein du premier paragraphe suivant le premier ou le second H2 (haut dans votre page donc). L’ancre du lien sera strictement positionnée sur le mot-clé ciblé par la page d’atterrissage.

Comment appliquer les critères de rédaction SEO sans en faire pâtir les lecteurs humains ?

Appliquer les critères très quantifiés des référenceurs à sa rédaction SEO se révèle souvent fastidieux ; le style devient étouffant, les pages s’alourdissent, le design en pâtit. Concrètement, l’internaute finit par se lasser du contenu de la page que vous avez si durement cherché à lui montrer.

Pour rendre votre contenu plus fluide, le principal élément à avoir en tête est le suivant : un moteur de recherche privilégie les réponses les plus claires et complètes. S’imposer la rédaction de textes d’au moins 500 mots ne suffit pas, votre contenu doit avoir de la valeur-ajoutée. Il vous faut donc vous assurer que chaque paragraphe apporte une nouvelle réponse aux internautes et que chaque partie (délimitée par un sous-titre) répond à un nouvel axe autour de votre sujet.

Par exemple, lorsque vous rédigez un article sur la « recette de mousse au chocolat », interrogez-vous sur les petits plus qui peuvent agrémenter votre recette. Regardez ce qu’ont déjà rédigé vos concurrents : qu’est-ce qui rend votre recette unique par rapport aux autres recettes référencées en première page de Google ? Quelle information apportez-vous que les autres n’apportent pas ?

Pensez également à soigner vos titres : c’est souvent le seul élément que vos internautes liront vraiment, se contentant la plupart du temps de « scanner » le contenu des paragraphes.

Si vous êtes à court d’inspiration pour augmenter la taille de vos articles, nous vous recommandons deux outils : Answer the Public et Uber suggest. Ces deux outils peuvent vous apporter des idées de sous-thématiques liées à votre article et sur lesquelles les internautes s’interrogent.

Le bloc de texte en bas de page : un hack SEO

Avant de conclure notre article, nous vous partageons une astuce ou hack SEO vous permettant de mieux référencer des pages ne pouvant contenir beaucoup de texte au risque de dégrader l’expérience utilisateur (des pages d’inscription ou liste de produits par exemple).

Plus votre page contient de contenu texte, plus grandes sont vos chances de bien vous référencer. Mais cela peut entrer en conflit avec le design de votre page, sur laquelle vous souhaitez un contenu texte léger pour laisser de la place à des éléments graphiques, tels que des images de produits ou des animations, ou pour concentrer l’internaute sur une action (landing page de génération de leads par exemple).

La plupart des grands sites de e-commerce optent pour un hack simple et efficace : diviser leur page en deux. En haut, on contente l’utilisateur (on améliore donc sa « Page Experience », ce qui représente un plus pour le référencement). En bas, on rassure le robot d’indexation en intégrant des textes optimisés pour le SEO qui explicitent le contenu sémantique de la page.

En tant que rédacteur SEO, on a tendance à appliquer mathématiquement des critères quantifiables en oubliant une notion clé : les critères de référencement des moteurs de recherche ne visent pas à flatter un robot, mais à apporter des réponses claires, complètes et facilement accessibles aux requêtes des internautes. Le vrai critère de votre rédaction, c’est d’apporter rapidement aux utilisateurs une réponse complète, centrée sur son sujet et incitant à poursuivre sa navigation sur votre site Internet. En un mot : votre texte est lu par des robots certes, mais qui cherchent avant tout à penser comme des humains !

Vous aimez parler SEO ? Nous aussi ! Contactez-nous pour améliorer le référencement de votre site web.

Tous les sites Web ne se ressemblent pas et n’ont pas les mêmes objectifs marketing !

il y en a pour tous les goûts, toutes les couleurs mais aussi pour tous les objectifs et tous les budgets !

Mais alors, comment sélectionner le bon type de site Web pour son activité ? Pour répondre à cette question, nous allons découvrir, ensemble, les différents types de sites en rappelant à chaque fois, les caractéristiques, les objectifs marketing et vous aurez en prime le droit à des exemples (elle est pas belle la vie ?).

1. Le site Web dit “Portfolio”

Le site Web dit “Portfolio” comporte généralement davantage de visuels et de réalisations que de textes. En effet, celui-ci incarne votre personnalité, votre expertise et votre expérience à travers un design personnalisé et différenciant. Ce type de site est idéal pour les artistes, les dessinateurs, les graphistes, les artistes tatoueurs, les architectes, etc…

Objectif : L’objectif marketing de ce type de site Web est avant tout de présenter des travaux, des visuels créatifs. L’idée est d’avoir un CV à portée de main et c’est le genre de site Web sur lequel on s’appuie lors d’une conversation afin de parler de son activité “tiens, si tu veux voir mes créations tu peux aller sur mon site” et cela fera bien plus professionnel que de chercher des photos dans votre galerie ou bien que de montrer votre compte Instagram.

Exemple : https://www.luc-hedin.com/

2. Le site Web dit “Blog-Magazine” 

Le site Web dit “Blog-Magazine” est généralement dédié à la production de contenus et de ce fait, il met davantage en avant les contenus textes que les visuels et le design (forcément). Il contient une page d’accueil statique présentant différentes catégories de contenus classés en rubriques. Ce type de site est idéal pour les blogueurs en herbe, les journalistes, les essayistes, les écrivains, les influenceurs, etc…

Objectif : L’objectif de ce type de site Web est avant tout de divertir, d’informer, de partager. Aussi, c’est le contenu qui est roi et non pas l’aspect graphique ! Nulle importance d’avoir un Webdesign chiadé tant que votre site Web est fluide et que les contenus sont facilement accessibles. Autrement dit, pour ce genre de site Web, il est important de soigner l’arborescence, le maillage interne, le référencement naturel (SEO) et vous pouvez laisser de côté les animations, les micro-interactions et les mises en pages trop élaborées.

Exemple : https://lagazette-ladefense.fr/

3. Le site Web dit “Landing-Page”

Le site Web dit “Landing-Page” est généralement dédié à l’itération et il est utile pour pousser les visiteurs à intenter des actions concrètes d’achat ou d’inscription. En effet, ce type de site Web est optimisé, dans sa mise en page et son contenu, afin de permettre de créer du trafic et surtout, de convertir. Il contient une seule page qu’on appelle une “One page” qui est subdivisée en différentes sections répondant à une disposition stricte. Ce type de site est idéal pour les entrepreneurs, les personnes qui ont une idée et qui souhaitent la tester dans les meilleures conditions et au meilleur rapport rapidité/qualité/prix. Ce type de site Web est idéal pour les entrepreneurs, les Startups en early-stage, les side-projects que vous souhaitez lancer en parallèle de votre activité, etc…

Objectif : Ce type de site Web a deux principaux objectifs, le premier étant un objectif de visibilité avec l’acquisition de trafic et de visiteurs (grâce à l’application d’une stratégie marketing Outbound/Marketing sortant) et le second étant l’objectif de convertir les visiteurs en leads.

Autrement dit, l’objectif de la création d’une Landing-Page est d’aller vite, très vite ! Créer une One Page simple – mais bien optimisée – permet de tester rapidement une idée et d’itérer sur les résultats. Une Landing-Page en One Page associée à une stratégie marketing Outbound – comme de la publicité sur les réseaux sociaux ou Google – s’avère être le combo gagnant à tout entrepreneur qui souhaite se lancer rapidement afin d’aller à la rencontre de ses clients potentiels.

Exemple : https://pylote.io/

4. Le site Web dit “Web-Application”

Le site Web dit “Web-Application” est généralement un site ayant la vocation d’être utilisé aussi bien sur Desktop que sur Mobile. C’est la jonction idéale entre un service à la fois Web et mobile. Ce genre de site Web est dédié aux Portails, Dashboards, Applications clients, etc… Autrement dit, ce type de sites est adapté à une utilisation dite “métier”, une utilisation technique et c’est un type de site qui possède un Front-end avec l’UI et l’UX travaillé et un Back-end très puissant pour permettre d’effectuer des tâches de manière automatisée et en toute fluidité. Ce type de site Web est idéal pour les Startups souhaitant développer un SAAS (Software en tant que service ou software as a service), les PME et grandes entreprises souhaitant mettre en place des outils aussi bien en interne (productivité) qu’à l’externe (commercialisation en marque blanche).

Objectif : Ce type de site Web a pour objectif de rendre son utilisation la plus simple et la plus fluide possible tout en donnant la possibilité d’être utilisé aussi bien sur ordinateur fixe que sur mobile et ce, avec la même interface, les mêmes fonctionnalités et la même fluidité. L’objectif de ce type de site Web est d’être ergonomique, efficace, simple et intuitif.

Exemple : https://app.heysimon.fr/ ou https://app.reachmaker.com/

5. Le site Web dit “Corporate”

Le site Web dit “Corporate” est très utile pour présenter votre activité, vos services et votre entreprises tout en donnant la possibilité de présenter du contenu et de vous contacter. Autrement dit, le site Web dit “Corporate” est l’étape/le stade suivant du site Web dit “Landing-Page” puisqu’il utilise la même trame mais sous formes de différentes pages plutôt que d’une seule page subdivisée en plusieurs sections. Ainsi, ce genre de site Web est particulièrement adapté aux entreprises un peu mieux implantées et qui souhaitent parfaire leur référencement par la mise à disposition de davantage d’informations et le partage de contenus comme des articles, des témoignages et des cas clients. Ce type de site Web est idéal pour les Startups à un stade plus avancée, les TPE et les PME et toute entreprise souhaitant mettre en place une stratégie marketing entrant, une stratégie de contenu plutôt que de compter que sur l’outbound marketing.

Objectif : Les objectifs de ce type de site Web sont les mêmes que pour une Landing-Page soit, attirer du trafic et le convertir en prospects. Cependant, le site Web dit “Corporate” va un peu plus loin et n’est pas une simple page d’atterrissage de votre publicité ! L’objectif de ce type de site est de se suffire à lui-même en terme de contenus et d’apporter beaucoup plus d’informations qu’une simple page de lancement.

Exemple : https://www.heysimon.fr/ ou https://www.twentypay.ch/

6. Le site Web dit “Communautaire” 

Le site Web dit “Communautaire” est très utile pour rassembler virtuellement une communauté, une catégorie de personnes. Nous parlons bien entendu ici de réseaux sociaux et ceux-là peuvent être externes ou internes à une entreprise. Un site “Communautaire” peut être un Forum ou bien se présenter sous forme d’un “Feed” en donnant la possibilité à la communauté de s’exprimer et de partager du contenu. Ce genre de site Web est idéal si vous souhaitez fédérer une communauté autour d’un sujet (associatif ou environnemental, par exemple) ou bien si vous souhaitez créer un réseau social (un site de rencontre, un réseau social avec un sujet en particulier, etc…).

Objectif : L’objectif de la création d’un site Web dit “Communautaire” est de rassembler, de fédérer, d’échanger par le biais du partage de fichiers, de photos, de textes en rapport avec des sujets divers. L’objectif de ce type de site n’est pas d’être beau mais d’être facilement accessible, épuré et neutre afin de laisser la communauté se l’approprier et créer sa propre utilisation de la plateforme.

Exemple : https://medium.com/ ou https://www.reddit.com/

7. Le site Web dit “E-Commerce”

Le site Web dit site “E-Commerce” est très utile pour présenter une série de produits ou bien de services. Se présentant généralement sous forme d’une page principale avec des produits en vedette, des promotions, une nouvelle collection… puis différentes pages de soutien avec différentes catégories de produits. Peuvent venir s’ajouter des pages “À propos”, “service après vente” ou bien “FAQ”. Ce genre de site sous forme de CMS E-commerce sont des sites relativement “lourds” en terme de contenus et il est important de soigner l’ergonomie et l’optimisation des images afin qu’il soit tout à fait agréable de naviguer dessus. Ce type de site Web est particulièrement adapté pour les commerçants, les e-commerçants, les commerçants en ligne, les personnes souhaitant créer leur propre marque, les micro-entrepreneurs souhaitant vendre leurs créations, etc…

Objectif : L’objectif est simple, vendre vos produits et vos prestations de service ! Pour cela, le site doit inspirer confiance (par la mise en avant de “preuves sociales” comme des avis clients et des témoignages), être accessible, fluide, mis à jour régulièrement. 

Le site E-Commerce donne la possibilité de mettre en place des stratégies marketing complexes avec l’aide de tracker(s) avec l’intention d’intenter des actions de marketing digital comme : la récupération de panier, le retargeting, l’envoi de code promo, etc…

Exemple : https://shop.leneonnormand.fr/fr/ ou https://www.vistaprint.fr/

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